Polizeifunk ruft

Gerda, une jeune coiffeuse, se rend à Hambourg pour travailler à la pension Baumann, tenue par Monika et Johnny. En fait il s'agit plutôt d'un hôtel de passe, et Johnny est un truand... Heureusement Gerda peut compter sur sa cousine, fiancée avec un très chevaleresque motard de la police de Hambourg, Hartmann.

A Hambourg, dans une aciérie, les vestiaires des ouvriers sont systématiquement forcés et volés pendant la pause. Tout accuse Alberto Carelli, soudeur fraîchement arrivé. Ses collègues lui sont plus qu'hostiles... Heureusement Hartmann vient faire toute la lumière sur l'affaire, et il ne croit pas au concept de coupable idéal !

Aux Halles de Hambourg, un grossiste attend sa livraison d'oranges. A peine arrivé, le chauffeur du camion est agressé et le chargement est volé. Qui a volé l'orange du marchand ? Une drôle d'affaire à éclaircir pour le brigadier Hartmann !

Un magasin de tapis est cambriolé pendant l'absence du propriétaire : les deux voleurs volent la marchandise sous l’œil innocent du vieux veilleur de nuit, qui croit avoir affaire à des livreurs. Tout accuse Fisher, un employé licencié récemment, mais Hartmann, malgré une cheville foulée, va pousser l'enquête un peu plus loin...

A Hambourg, un couple de malfrats mettent au point une escroquerie infaillible : ils mettent une annonce pour revendre un superbe voilier, en urgence et à prix cassé, et demandent une avance à l'acheteur pour le réserver... Hartmann, intéressé, est sur le point de tomber dans le panneau !

Deux employés de l'entreprise Schneider s'arrangent pour voler des caisses, remplies de matériel coûteux, envoyées par avion à Beyrouth : ils veulent toucher la prime d'assurance. Ainsi, ils poignardent l'homme qui s'occupe habituellement du fret aérien pour Schneider. Hartmann le découvre baignant dans son sang à l'arrière de sa voiture...