Lors d'une mission de routine à la rencontre de la population locale, des hommes de la section du lieutenant Anaïs Collet tombent dans une embuscade. Leur chef de groupe, Martial Mendy, en proie en doute, se cache derrière le protocole.

Alors que le débat s'installe autour de la légitimé du coup de feu de Ravalet lors de l'embuscade, la famille du jeune malien tué vient de récupérer le corps. Elise, la journaliste, s'intéresse d'un peu trop près à ce qui a pu se passer.

Des coups de feu se font entendre dans un village Peul situé à proximité de l'emprise militaire française. Anaïs s'y rend malgré le refus de la haute hiérarchie en courcircuitant la chaîne de commandement et découvre qu'un massacre a eu lieu.

Traoré, gendarme malien, vient demander l'aide de l'armée française. Bien que le mandat Barkhane ne permette pas d'intervenir dans les luttes inter-ethniques, Lefort dépêche Anaïs et quelques hommes en soutien léger.

L'enquête de Traoré continue et emmène Anaïs et ses hommes sur la piste des auteurs du massacre de Makou. Elise se déjoue de l'encadrement militaire français pour interviewer un puissant chef Dogon Bilal Issabere.

Anaïs est ramenée violemment à la réalité des luttes intestines maliennes lors de l'enquête qu'elle mène avec Traoré. Pendant ce temps, tous les soldats et l'état major français sont mobilisés par l'enlèvement d'Elise.