Cette fois, il s'agit de la richesse et de la question de savoir pourquoi il faut rechercher la richesse. L'animateur s'entretient avec la millionnaire de la mode Claudia Obert, la politologue Simin Jawabreh et Kagan Sümer, fondateur de "Gorillas".

"Comment me libérer du carcan de la société et inventer ma propre sexualité ?", se demande Ronja. Quelle place le sexe occupe-t-il dans nos vies ? Peut-on être heureux sans faire l’amour ? Ronja s’interroge également sur l’asexualité, le polyamour et le fétichisme. Pour cela, elle rend visite à des membres de la communauté "ball culture" berlinoise.

"L’éducation a pour but de former des êtres adaptés à un système", explique le philosophe Johannes Winter. Pourtant, depuis Rousseau, il est admis que l’enfant doit pouvoir s’épanouir librement. Mais peut-on éduquer des sociétés entières ? Ronja en parle avec un maître-nageur berlinois, des activistes d’Extinction Rebellion et un couple d’artistes qui s’apprête à pouponner.

Dans cet épisode, le présentateur s'interroge sur ce qu'est réellement le masculin. Autour d'une bière, il discute avec Rose, la tenancière du bar, de ce qui caractérise les hommes et de la manière dont ils ont changé au fil des années.

Après les nombreuses quarantaines de Corona, tout le monde connaît probablement le sentiment de solitude. L'émission se penche entre autres sur la question de savoir pourquoi il nous pèse tant d'être seuls.

Une émission philosophique sous forme de déambulation dans Berlin, en compagnie de la jeune présentatrice Ronja von Rönne. Dans ce numéro : Ne perds pas espoir !.