L'ETA est née sous la dictature de Francisco Franco en tant que mouvement basque luttant pour la liberté. Cependant, après la mort de Franco et avec l'instauration de la démocratie, l'ETA continue de commettre des attentats terroristes.

Suite à la mort de Franco, les prisonniers politiques sont libérés. De nombreux terroristes de l'ETA vont partir et choisir le chemin de la mort.

Des gardes civils sont tués avec l'aide de voitures piégées à Madrid. Le groupe sait que son ennemi principal est la garde civile et que le meilleur moyen de faire pression sur l'État est d'augmenter le nombre de victimes.

L'État et l'ETA sont en pleine négociation même si les chefs du groupe veulent continuer le combat. En 1992, après de nouveaux attentats, l'État et la garde civile arrêtent des dirigeants de l'ETA.

L'ETA a un nouveau chef encore plus sanguinaire : il veut organiser l'assassinat du candidat à la présidentielle. Pendant cette période, l'enlèvement d'un conseiller basque marquera le début de la fin pour l'ETA.

Après la mort de Miguel Ángel Blanco, la société s'oppose de plus en plus aux actions de l'ETA. Le pouvoir politique de l'ETA est rendu illégal alors que l'un de ses chefs, Kantauri, est arrêté.