s. 1, ép. 4: La disgrâce d’Anne est totale et le sacre de Diane est absolu! Peu importe qu’elle n’ait pas pu assister au couronnement de son royal amant. Désormais, elle est duchesse, favorite en titre, presque reine… plus que reine? Mais attention à l’ivresse du pouvoir, qui peut conduire au péché d’orgueil… Un homme périt sur le bûcher, un enfant périt noyé : les larmes de Diane n’effaceront pas les brûlures de la culpabilité. Mauvais présages? Catherine de Médicis se réjouit des pamphlets dont Diane fait l’objet, même si elle partage ses inquiétudes quand le chevaleresque Henri décide d’organiser un tournoi. Nostradamus ne rassurera ni la reine ni la favorite. Il ne reste plus qu’à prier que Dieu protège le roi quand Henri II s’élance dans la joute qui lui sera fatale. Le roi est mort… vive la reine! Que restera-t-il à Diane? La certitude d’avoir régné sur le cœur d’un roi qui voulait lui offrir sa couronne…
