Ils s'appellent Andreh, Ashley, Benjamin, Émy, Jean-Émilien, Loïc, Noah, Mika, Rachel-Andrée et Victoria; dénominateur commun: ils font leurs premiers pas dans l'adolescence.

On découvre Ashley-Deborah, originaire du Rwanda; sa famille vit sur deux continents; son père lui manque; Ém sent la pression de réussir et revendique le droit à l'erreur.

Retour sur l'été de leurs 13 ans; ils sont mineurs, mais vivent des changements physiques majeurs; certains aiment ce qu'ils voient dans le miroir d'autres voudraient se voir ailleurs.

Victoria constate que ses parents frôlent la séparation, Jean-Émilien éprouve des difficultés à l'école; la relâche est bienvenue, mais une ombre plane sur cette semaine synonyme de plaisir et de liberté : la menace du coronavirus.

Au beau milieu de leur adolescence, à l'âge où on réclame un peu plus de liberté, le Québec est confiné et les rencontres entre amis sont interdites; les ados sont démotivés et deux d'entre eux vivent le deuil d'un membre de leur famille.

Pour Andreh, ses amis sont essentiels à sa santé mentale; il se sent victime de racisme; le meilleur ami d'Émy assume ouvertement son homosexualité, Rachel-Andrée est amoureuse, et Mika est nerveux la veille des examens de fin d'année.