Lors d’un souper entre filles, Stéphanie ressort une bouteille contenant leurs ambitions écrites quinze ans plus tôt. Mimi, Claude et Isa découvrent qu’elles sont loin du compte, mais Stéphanie croit plus que jamais que son rêve est possible : partager une seule grande maison avec ses amies et leurs sept enfants, mais sans homme.

Le rêve de Stéphanie prend vie plus que jamais. Claude, écoeurée de faire vivre son chum, est prête à le quitter temporairement. Reste à convaincre Isabelle, toujours occupée à jouer la femme parfaite auprès de son ministre de mari. Tout en débutant la recherche de la maison de rêve, nos trois amies préparent un complot machiavélique afin de forcer Isabelle à quitter son mari.

Terrassé par une forte fièvre, Jacques met toute son énergie pour camoufler certains faits. Stéphanie rencontre Mme Baer, une veuve qui possède une immense maison dont elle ne peut plus s'occuper. Séduite par les lieux, elle s'empresse d'en parler à ses copines. Ayant offert un traitement spécial à un client italien, Mimi nourrit les plus grands espoirs quand il lui laisse un message sur son répondeur.

Madame Baer accueille les filles qui viennent visiter la maison. Ces dernières partagent l'enthousiasme de Steff. Marielle, qui n'était pas invitée, arrive à l'improviste. Elle jette un froid en lisant des extraits d'un livre de Steff inspiré par le vécu d'Isa et Jacques. L'heure du déménagement a sonné pour Claude, Mimi, Steff et les enfants.

Jacques pousse sur Philippe pour qu'il trouve la source des photos compromettantes. Il est anéanti par le départ d'Isabelle. L'épreuve du premier petit déjeuner avec sept enfants provoque des étincelles : Steff ne se formalise pas trop du bordel; Isa tient à surveiller leur alimentation de près; Mimi ne pense qu'à ses amours, et Claude est prête à tout pour avoir la sainte… paix.

Isabelle et Jacques font le point. Le politicien, « poète » à ses heures, comprend qu'il vaut mieux la laisser partir pour quelque temps. En butte aux sarcasmes de ses camarades, Camille trouve du réconfort auprès des amies de sa mère et découvre qu'une bonne bataille d'oreillers vaut mieux que bien des explications.