Avec son quatrième spectacle en carrière, Louis-José prend position: oui, il l'avoue, il se qualifie de lent, à contresens de son époque où l'instantanéité est valorisée, justifiant ainsi son affection pour ce mois sous-estimé et mal-aimé. Si ce spectacle fait l'éloge de la lenteur, on y retrouve aussi un humoriste plus engagé avec la même énergie fascinante et sa verve intelligente.
