Le bel inconnu volant : Siméon, le papillon timide, s’est enfin décidé à inviter Mireille au bal des lucioles mais au moment de signer sa lettre il a renoncé en se faisant passer pour ‘le bel inconnu volant’ : une source de quiproquos... / Pour trois milligrammes de trop : Pour tenter de séduire Benjamin, Mireille l’abeille se lance dans un régime draconien que lui a insidieusement conseillé Huguette, sa voisine jalouse. / Nounou malgré lui : Léon se retrouve contraint de jouer au baby-sitter avec Belle la coccinelle. Comment le bourdon égoïste va-t-il s’y prendre pour avoir la paix face à la petite coccinelle dissipée ?

Comment devenir un papillon ? : Camille n’en peut plus d’attendre le jour où elle pourra enfin prendre son envol. Elle prend diverses initiatives pour tenter d’accélérer sa mutation en papillon, allant jusqu’à se lancer du haut d’un monticule. Heureusement que son parrain Siméon veille / L'objet mystérieux : Huguette et Belle découvrent une pièce de monnaie. Aussitôt, les deux insectes échafaudent les théories les plus folles sur l’utilité de la pièce. Voyant là un miroir précieux qui augmentera à coup sûr son prestige, Huguette s’en empare. Mais Belle est bien décidée à jouer avec ce jouet qui roule tout seul... / Le portrait de l'artiste : Sans arrêt, Barnabé est dérangé dans l'exercice de sa peinture. Lorsqu'elle apprend qu'il a exceptionnellement accepté de réaliser le portrait de la reine, Mireille l'abeille tente de le convaincre de la peindre, elle aussi. Un malentendu sur le prix pousse l'abeille entêtée à dépenser toute sa réserve de miel pour l'obtention du fameux tableau. Elle obtiendra finalement la satisfaction d'avoir reçu la même chose que sa rivale, mais n'est-ce pas un peu cher payé ?

Le gâteau pourri : Vexée par une phrase maladroite de la mouche, Huguette la guêpe s’est enfermée chez elle et refuse d’en sortir. Ses voisins rivalisent d’inventions pour faire cesser sa bouderie. Seul Loulou le pou parviendra à dérider la guêpe en choisissant de la faire rire. / Une copine pour la vie : Obligée de jouer avec Belle qui prend un malin plaisir à l’humilier, Camille relève tous les défis afin de prouver qu’elle n’est plus un bébé. / Comment se faire pardonner : Trop fainéant pour récolter lui-même son pollen, Léon profite de la première occasion pour piéger Marie. Il joue sur le sentiment de culpabilité de la fourmi, lui faisant croire qu’à cause d’elle, il a perdu sa récolte. Marie, naïve, se met illico au travail pour réparer sa «faute», pendant que Léon continue à se prélasser. Il faudra toute l’astuce de Mireille pour aider Marie à ouvrir les yeux sur la manipulation dont elle est victime.

La fleur trompette : Belle, ravie, a trouvé une fleur-trompette d'un genre unique et refuse de la rendre à Loulou quand elle comprend que l'instrument rare lui appartient. Mais quand Loulou tombe en dépression, mettant la célébration du printemps en péril, Belle a un cas de conscience. Aidée par Mireille, Belle aura un beau geste (après en avoir eu un mauvais) et en sera même récompensée. / Nu comme un ver : Hugo l'asticot se croit à l'abri dans sa pomme et ne se prive pas d'agresser verbalement les passants. Patouch et Siméon, eux, refusent de se laisser insulter comme les autres et tentent de donner une bonne leçon à l'asticot en profitant de son absence de quelques secondes pour reboucher le trou dans sa pomme. Mais Hugo parvient à forer un nouveau trou. Carole la luciole va alors se joindre à eux et faire disparaître en une nuit toutes les pommes du jardin (la sienne en premier). Comment Hugo va-t-il pouvoir passer toute une journée hors de sa pomme ? / La flûte enchantée : Léon le bourdon a reçu un cadeau de Noël qui ne l'enchante guère : une petite flûte en bois. En revanche, il lorgne sur l'éventail reçu par Belle la coccinelle. Il s'obsède à tel point qu'il finit par aller trouver Belle pour lui proposer un échange. La coccinelle accepte mais le bourdon se lasse rapidement de sa nouvelle acquisition et se met bientôt à regretter son échange. Le bourdon va avoir toutes les peines du monde à récupérer son cadeau initial. Il faut dire que pour couronner le tout, cette chipie de Belle lui fait passer maintenant cette modeste flûte pour une flûte magique, capable de pousser quiconque à obéir à celui qui en joue...

La plante géante : Une étrange plante grimpante a poussé dans le jardin de Mireille. Ses voisins s’y intéressent beaucoup mais l’abeille refuse qu’on touche à « sa » plante. Lorsque la plante envahissante finit par bloquer sa porte, Mireille est obligée de devenir plus partageuse pour obtenir de l’aide. / Qui a peur du noir ? : Entre cauchemars et ombres inquiétantes dans sa chambre, Camille cherche apprivoiser sa peur de la nuit. / La varicelle : Pour échapper à la corvée de ramassage des feuilles d'automne, Belle simule une varicelle en dessinant des petits points blancs sur sa frimousse. Elle multiplie les caprices et fait enrager Léon qui, poussé à bout, la fait tomber sans le faire exprès. La petite coccinelle se met alors à pleurnicher, effaçant ainsi toute trace de sa pseudo-maladie.

Le mal de tête : La reine des abeilles souffre d'un terrible mal de tête. Frédéric le moustique est appelé au palais pour la soigner mais en chemin, il découvre que Benjamin le lutin a également été contacté pour la même raison. Profitant de ses ailes, il sème facilement le lutin et se présente en premier au château dans l'espoir de pouvoir administrer une piqûre à la reine. Mais celle-ci ne l'entend pas de cette oreille et jette le moustique en prison pour outrage. Arrivé enfin sur place, Benjamin va réussir in extremis à soulager la reine, non pas grâce à sa prétendue magie, mais parce qu'il vient de comprendre que la nouvelle et lourde couronne de la reine est à la source de tous ses maux. Il obtient alors sans peine la libération du moustique avec lequel il se réconcilie et tous deux scellent ensemble une sorte de pacte de non-agression. / La peinture jaune : La reine des abeilles ordonne que Barnabé vienne immédiatement peindre un nouveau portrait d'elle-même. Sur le départ, le peintre scarabée réalise qu'il n'a plus de peinture jaune. Il pense en obtenir grâce aux jonquilles de Siméon. Malheureusement, ça n'est plus la saison et le papillon cherche un moyen d'aider Barnabé. Ce dernier reprend espoir, mais l'idée du papillon s'avère stérile et Barnabé l'insulte pour passer ses nerfs. Vexé, Siméon réclame des excuses. Il n'en est pas question lui répond Barnabé en reprenant le chemin du château. Arrivé sur place, totalement démotivé, Barnabé est jugé insolent et jeté au cachot. Il ne devra son salut qu'après s'être excusé auprès du papillon qui se trouve avoir une solution... / Les gros mensonges : Désobéissante et menteuse, Belle horripile Benjamin qui lui court après pour lui donner une fessée. Mireille s'interpose et, prônant le dialogue avec les enfants plutôt que la manière forte, décide de prendre en main l'éducation déficiente de la coccinelle. Mireille explique patiemment à la coccinelle qu'il ne faut pas mentir, mais l'abeille se voit bientôt obligée de se contredire en demandant à la coccinelle d'être moins franche, notamment vis-à-vis de Benjamin (qu'elle sait être un nain de jardin plutôt qu'un lutin). Belle a beau jeu de souligner les contradictions de Mireille et se fâche avec l'abeille. ? cause de son insolence face à la reine des abeilles, la coccinelle se verra bientôt enfermée au cachot. Pour la tirer de là, Mireille est obligée de faire un gros mensonge à la reine pour excuser la conduite de sa protégée...ce qui ne sera pas pour éclaircir le messâge pédagogique inculqué à Belle.