Rurik Sallé s’attaque au monstre velu géant de Chris Sun. Avec humour et passion, il nous parle de "Boar", l’histoire d’un énorme sanglier bien décidé à faire régner la terreur en Australie.

Rurik Sallé nous embarque dans l’univers absurde et grinçant de "Matar a Dios", bijou espagnol où un étrange Dieu minuscule propose une décision terrifiante à une famille en crise. Humour noir et réflexions existentielles au menu de cet empitche divinement barré !

Avec "Dreamland", Rurik nous sert un beignet bien gras du cinéma déjanté. Pas le gâteau de Mamie, non, mais une friandise rock et absurde, entre jazz poisseux, vampires et tueur à gages. Du n’importe quoi maîtrisé… et savoureusement barré.

Rurik plonge tête la première dans "Zombie Ass", un délire nippon entre intestins, pets et morts-vivants sortis des toilettes. Un nanar crado, excessif et fier de l'être, à ne surtout pas regarder pendant le dîner. Mais alors, quel plaisir coupable !

Avec "Los que vuelven", Rurik nous emmène dans une jungle moite et mystique, où les morts ne restent jamais tranquilles. Un film argentin envoûtant, entre sorcellerie, colonialisme et fantômes vengeurs. Poétique, dérangeant, et sacrément fascinant.

Un vœu, un meurtre ! Dans "Vœux sanglants", Rurik décortique ce slasher eighties bien kitsch où chaque souhait a un prix... sanglant. C'est cheesy, c'est fun, c'est un cadeau bien emballé pour les fans de nanars de Noël.