Je suis Ingrid
En 2011, Isabella Rossellini donne au documentariste Stig Björkman l'accès aux journaux intimes de sa mère, Ingrid Bergman, et à des films de famille jamais montrés. Le portrait d'une femme peu conventionnelle s'y dessine : dès les années 1940, à l'encontre des usages à Hollywood, la star avait refusé de se transformer pour correspondre aux canons des productions et joua toute sa vie peu maquillée, avec subtilité et dépouillement.
