
L’amour c’est gai, l’amour c’est triste
Modeste tailleur, Léon vit dans un deux-pièces en compagnie de sa sur Marie qui, bien qu'officiellement cartomancienne, exerce également la profession de péripatéticienne sous la protection de Maxime, un sympathique maquereau. Marie fait par hasard la connaissance d'une jeune Bretonne, Arlette, dont Léon tombe éperdument amoureux.
En vedette
Claude Melki, Bernadette Lafont, Jean-Pierre Marielle
Réalisation
Jean-Daniel Pollet