Je suis vivant !
Le spectateur se retrouve enfermé dans le corps de Lee (Mos Def), lorsque celui-ci se réveille, après un accident de vélo survenu à New York. Il est incapable de bouger et de parler. De cette perspective hors du commun, nous entendons la voix intérieure de Lee. House, lui aussi blessé dans un accident de moto, occupe le lit voisin. C’est lorsque que le médecin diagnostique la mort cérébrale de Lee et commence à prendre des dispositions pour le don d’organes que House commence à se pencher sur son cas. House rejette catégoriquement ce diagnostic et affirme que Lee souffre du syndrome d’enfermement – le patient est parfaitement conscient, mais incapable de le faire savoir. House met alors au point un système de communication, Lee doit cligner une fois des yeux pour dire « non » et deux fois pour dire « oui ». Ce cas l’intrigue et il essaie de comprendre, malgré le dédain affiché par le médecin présent, quelle peut être la cause de ce mal mystérieux. Il parvient à obtenir son transfert à Princeton-Plainsboro et toute l’équipe joint ses efforts pour essayer de lui sauver la vie. Nous en apprenons plus sur la vie de Lee et de sa famille et on voit également House et son équipe agir sous la perspective du patient. Ce qui dévoile les relations plus ou moins transparentes qu’entretiennent les différents protagonistes. Lorsque Lee n’est plus capable de cligner des yeux et que son état empire, l’équipe entame une course contre la montre pour tenter de le faire sortir de son enfermement. Pendant ce temps, Wilson suspecte House de lui cacher quelque chose alors que celui-ci refuse de lui dire pourquoi il était à New York où il a eu son accident de moto.