Jacqueline McKenzie

Une nouvelle lettre anonyme est adressée à Bree, qui s'empresse de demander conseil à Lynette et Gabrielle. Ces dernières ne semblent pas prêtes à renouer des relations amicales avec leur voisine. Ecoeurée par leur attitude, Bree finit par se rendre à l'idée de Renee, qui lui propose de sortir. De son côté, Susan tente de retrouver la famille du beau-père de Gabrielle. Ben, pour sa part, rencontre quelques problèmes d'ordre financier sur le chantier et se comporte étrangement.

L'une des filles de l'ambassadeur américain des Philippines est retrouvée morte à Hawaii tandis que la seconde a disparu. Le gouverneur Jameson, proche de la famille, charge McGarrett et son équipe de l'affaire.

Callen, Sam et Kensi débarquent dans l’entrepôt de Keelson, qui est rempli de boites d’archivage contenant les dossiers d’un tas de gens, notamment Callen et Hetty, mais avant de pouvoir consulter quoi que ce soit, une minuterie se met en route et l’entrepôt part en fumée. Les 3 agents réussissent à sortir à temps en emportant un seul dossier, celui d’un certain Taylor A. Tres vite, ils découvrent que c’est en fait une femme, Taylor Amy, mais dont le nom de jeune fille n’est autre que Callen. L’enquête suit son cours et Eric réussit à remonter jusqu’à l’associé de Keelson. Mais en arrivant chez lui, Callen tombe sur son cadavre et un agent de la CIA, Trent Kort. Ce dernier leur expliquera qu’ils sont à la poursuite d’un Iranien, Karim Akbari, qui essaie de récupérer 1 milliard de dollars qui aurait été caché par un banquier américain après la chute du shah d’Iran. Callen finit par retrouver Amy Taylor qui lui avoue qu’en fait, elle est la fille du banquier américain et qu’elle se cache depuis la mort de son père pour échapper à Karim Akbari. Elle lui apprend aussi qu’il avait une grande sœur, mais qu’elle est morte dans un accident quand elle était jeune.

Une sénatrice disparaît après avoir annoncé à son mari qu'elle se rendait à une réunion de dernière minute à Washington. L'équipe de Jack doit mener son enquête en dépit de la pression médiatique et de la présence du père très autoritaire de la sénatrice.