Un mois après la mort de sa femme, Maximilien Sendac est chargé d’enquêter sur la disparition d’une adolescente : Gwen. Alors qu’il songe au départ à une fugue, il réalise rapidement qu’il n’en est rien.

Cela fait maintenant plus de 24h que Gwen a disparu et Max et ses collègues (Lucie et Jean-Guy) n’ont aucune piste. Alors qu’ils passent la forêt au peigne fin dans l’espoir de trouver quelque chose, ils remarquent une bottine de Gwen à l’orée du chaos rocheux de Huelgoat. Les gendarmes décident alors d’organiser une battue pour la retrouver.

Alors que Max a échappé de peu à la mort, Lucie et Jean-Guy enquêtent sur la violente et déconcertante attaque d’un minibus aux abords du village. Wendie est inquiète de l’état de santé de son père. Léa et Nathan enquêtent sur un symbole dessiné par Mammig : un ogham, symbole druidique qui pourrait indiquer la prochaine victime. Mais alors qu’ils s’approchent de la vérité, ils sont pris au piège dans la maison de retraite : la mystérieuse créature est de retour et semble vouloir s’en prendre au Capitaine, un camarade de la maison de repos de Mammig.

Max et Lucie montent une filature pour surveiller de près le maire, leur seul suspect. Max tente un coup de bluff pour le pousser à la faute en lui faisant savoir qu’ils vont bientôt trouver le coupable. De leur côté, Wendie, Léa et Nathan effectuent des recherches sur les familles fondatrices de Harz et en apprennent plus sur le folklore breton et la mythologie dont s’inspire le coupable.

Wendie comprend que sa famille fait partie des membres fondateurs du village et que sa mère pourrait être la druidesse capable d’ouvrir le monde entre les vivants et les morts. Et si sa mort n’était pas accidentelle mais liée à cette mystérieuse créature : le Bugul-Noz ?

Le temps presse ! Wendie est aux mains de Fred, le véritable responsable des attaques. Pour la retrouver, Max interroge Léa et Nathan et doit faire fi de ses convictions rationnelles pour envisager pour la première fois la possibilité de l’impossible.