Lebowitz contre Lebowitz

Paule se prend une claque en découvrant que Simon Lebowitz, son ex-mari – avec qui elle travaille toujours au sein du cabinet d’avocats qu’ils ont fondé ensemble - s’est remarié avec Irène, une jeune collaboratrice de 20 ans sa cadette. Par appréhension de la réaction de Paule, Simon fait une crise cardiaque. À l’hôpital, ses derniers mots sont pour Paule, mais concernent sa rivale : promets-moi de veiller sur Irène.

Deux cabinets, portant le même nom, séparés par un mur, se retrouvent à partager les mêmes locaux. Craignant que Paule ne lui fasse concurrence, Irène lui intente un procès pour l’empêcher de professer sous le nom de Lebowitz. Seulement, Irène et Warnier sont sur le point de signer un faramineux contrat avec Jordman, un puissant industriel.

Nadia perd dans une affaire où elle défendait un père qui voulait obtenir la garde complète de sa fille après son divorce. Elle vit très mal cette défaite. Encore plus, lorsqu’elle apprend qu’à l’issue du jugement, son client a kidnappé sa fille. Paule va voler au secours de Nadia mais va surtout tenter de comprendre pourquoi ce père a choisi de se mettre hors la loi pour garder sa fille près de lui.

Pour se faire un prénom, Irène a choisi de plaider la légitime défense dans un dossier où son client, petit artisan sans histoire, est accusé d’avoir tué un cambrioleur. Elle choisit pour ce dossier de rameuter la presse et de faire monter la sauce médiatique. Mais des complications médicales liées aux premiers mois de grossesse la contraignent à rester alitée. Paule hérite du dossier, mais aussi de ses retombées médiatiques.

Deux types, tout droit sortis du quartier V.I.P de la Santé, débarquent au cabinet, et demandent à voir Simon… C’est Warnier, tétanisé, qui les reçoit… On comprend qu’entre les quatre hommes s’est jouée une affaire délicate, où les deux avocats ont dû blanchir une grosse somme d’argent pour le compte des deux voyous en col blanc. Grâce aux talents conjugués de Warnier et de Simon, les deux voyous ont écopé d’une peine dérisoire, 18 mois fermes seulement, contre des honoraires exorbitants. Aujourd’hui, ils viennent chercher leur dû…

Paule, qui avait été éconduite par le procureur Alain Forest, remet le couvert avec ce dernier. Il revient en catastrophe voir Paule, sa femme est tombée sur une clef USB dans laquelle il avait stocké toutes les photos de leurs ébats, photos prises par le proc au cœur de l’action, et sur lequel il n’apparaît donc pas directement. Heureusement pour lui, il a pu prétexter que cette clef USB est un élément d’un dossier dont il a la charge… Le proc supplie Paule d’arranger les choses avec sa femme.