Dans leurs efforts pour découvrir les richesses de leur pays, les Canadiens ont dû braver les dangers qui jalonnaient leur parcours. Les résidents du Col du Nid du Corbeau, en Alberta, ont choisi de vivre dans une vallée de la mort, sur le fil du rasoir en permanence.

Le vieil adage qui veut que les catastrophes arrivent toujours par trois n'a jamais été plus vrai que pendant la semaine du 9 au 15 octobre 1913.

Une bonne planification, de bonnes intentions et de bonnes prévisions ont certainement évité à nombre d'entre nous d'être frappés par une tragédie. Les événements lors desquels ces éléments ont été ignorés nous rappellent malheureusement qu'il suffit qu'une personne ait un moment de distraction pour que les mécanismes du désastre se mettent en branle.

Un feu couve au cœur de notre planète qui se montre rarement. Mais lorsque les entrailles de la Terre décident d'émerger, elles sont sans merci et l'écho de leur présence résonne dans le monde entier.

Au début du 19e siècle, le monde connaît un boum économique d'une ampleur sans précédent ; c'est ce que l'on appelle la « Révolution industrielle ». Mais cette révolution comporte aussi ses zones d'ombre, celles du progrès à tout prix et parfois au prix de vies humaines.

L'océan reste l'une des dernières frontières pour l'homme avec ses vagues dangereuses, ses épisodes météorologiques imprévisibles, sa faune étrange et ses vastes étendues sous-marines inexplorées. Dans nos efforts de conquête de la Terre, nous avons inventé de nombreux vaisseaux pour relever les défis de la mer. Nous réalisons que nous ne contrôlons toujours pas l'océan.