Les chroniques de Zorro

Après cinq ans passés en Espagne, Diego de la Vega retrouve sa chère Californie. Tout a bien changé... A Los Angeles, le commandant Monasterio tyrannise les habitants. Ecrasés sous les impôts, les plus pauvres sont jetés en prison. La famille De la Vega est la seule à oser protester. Mais que peuvent-ils faire? C'est alors qu'un mystérieux justicier masqué fait son apparition. Il se fait appeler Zorro !

Diego, qui va rendre visite à Taïnah, sa grand-mère indienne Chumash, découvre que les soldats du commandant Monasterio ont emmené tous les hommes du village. Ils sont forcés à casser des pierres dans la montagne. Monasterio a un plan qui va le rendre très riche, et même le gouverneur de Californie ne fera rien pour les malheureux Chumash. Mais Zorro ne l'entend pas de cette oreille !

Monasterio a décidé de tendre un piège à Zorro. Comme appât, il arrête des indiens innocents. Puis il fait semblant de quitter Los Angeles avec sa troupe, ne laissant derrière lui que le sergent Garcia et quelques hommes. Aussitôt, Zorro vient pour délivrer les prisonniers. Mais au moment de s'enfuir, il tombe sur Monasterio et ses soldats ! Une grande poursuite commence dans les rues de la ville.

Le père de Diego n'a qu'une idée en tête, le marier à la belle Carmen, la fille de son meilleur ami le ranchero Luis de Villalonga. Diego ne veut pas de ce mariage. Il a peur que Carmen découvre qu'il est Zorro et qu'elle soit en danger. Mais le commandant Monasterio a lui aussi des vues sur Carmen...

Pour battre Zorro, le commandant Monasterio a engagé Don Ramirez, un brillant maître d'armes. Un grand tournoi est organisé à Los Angeles. Monasterio est certain que Zorro ne saura pas résister à l'envie de se mesurer à Don Ramirez. Et en effet, malgré le danger, le justicier masqué vient défier ses ennemis !

Le commandant Monasterio a fait venir deux canons de Monterey pour chasser les Chumash de leur village et leur voler leurs terres. Don Alejandro de la Vega et son meilleur ami Don Luis de Villalonga, qui ne sont plus tout jeunes, tendent une embuscade aux soldats avec une poignée de rancheros.